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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 17:03

 

Dans mon livre : « Et si vous vous manquiez de vitamine D ? », le chapitre 20 est consacré à la maladie de Parkinson. Cette affection chronique et invalidante a des causes diverses. On incrimine volontiers les pesticides. Selon une étude américaine publiée il y a quelques années, les pesticides seraient à l'origine de l'augmentation de 70 % de la fréquence de la maladie de Parkinson chez les agriculteurs, comparativement à la population générale. En France – l'un des pays les plus gros consommateurs au monde de pesticides -, l'étude TERRE, réalisée par la Mutualité sociale agricole (MSA), en partenariat avec l'INSERM, a mis en évidence une multiplication du risque de Parkinson par 1,9 en cas d'exposition pendant plus de 15 ans aux pesticides. En 2011, une étude de l'Institut national de veille sanitaire (INVS) a révélé que les Français avaient trois fois plus de pesticides dans le sang que les Américains !

 

En ce qui concerne la vitamine D, on s'est aperçu qu'il existait une large déficience en cette vitamine au stade précoce de la maladie de Parkinson puisque près de 70 % des sujets concernés avaient des taux sanguins en-dessous de la valeur plancher, à savoir 30 ng/ml. Mieux encore : récemment, on a mis en évidence que les hommes travaillant à l'extérieur – et donc plus à même d'améliorer leur statut en vitamine D – avaient un risque plus faible d'être atteints par la maladie, comparés à ceux travaillant exclusivement à l'intérieur.

 

Conjuguées à d'autres facteurs (inflammation silencieuse, stress oxydatif...), l'exposition aux pesticides et la déficience en vitamine D semblent donc jouer un rôle dans l'apparition de la maladie de Parkinson. On ignorait toutefois jusqu'à présent si les pesticides pouvaient nuire à l'action de la vitamine D au sein de l'organisme. Des scientifiques coréens viennent de nous apporter un premier élément de réponse. En effet, après avoir analysé le sang de plus de 1300 sujets, ils ont observé que ceux dont le sang contenait le plus de traces de pesticides organochlorés – notamment le tristement célèbre DDT -, avaient, dans le même temps, les plus faibles taux de vitamine D ! Une corrélation qui a de quoi intriguer...

 

Malgré leur interdiction, le DDT et ses petits copains persistent dans l'environnement. Avant son interdiction, au moins 3 millions de tonnes de DDT ont été pulvérisées dans le monde !

 

En prévention primaire de la maladie de Parkinson, on gagnera donc à coup sûr à privilégier une alimentation 100 % bio et à détoxiquer son organisme, au moins à chaque printemps, en vue de le débarrasser des résidus de pesticides et autres xénobiotiques qui l'empoisonnent petit à petit. Dans le dernier rapport annuel de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) sur la présence de pesticides dans les aliments, on apprend qu'en 2009, seuls 2 % des échantillons de fruits et légumes bio analysés par la France contenaient de petites traces de pesticides. En moyenne, les consommateurs ont 18 fois plus de risques de trouver un résidu de pesticide dans un aliment issu de l'agriculture intensive que dans un aliment bio !

 

 

Didier Le Bail

 

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27 janvier 2012 5 27 /01 /janvier /2012 11:09

 

De nouveaux extraits de l'interview accordée à l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle :

 

IPSN : Vous tirez la sonnette d’alarme face à la déficience en vitamine D qui touche la majorité des citoyens en France et en Europe. Quels sont, selon vous, les risques liés à cette carence ?

 

Didier Le Bail : Un déficit chronique en vitamine D n'est pas sans conséquences sur la santé à court comme à long terme. Le bébé ayant souffert d'un manque de vitamine D dès la vie foetale fera par exemple une bronchiolite dont la sévérité nécessitera une hospitalisation. Si le manque perdure, il sera davantage susceptible, quelques années plus tard, de développer un asthme ou une maladie auto-immune comme le diabète de type 1. À l'âge adolescent, il sera moins épargné que d'autres par certains troubles métaboliques (hypertension, hyperglycémie...). Au début de sa vie d'adulte, on lui diagnostiquera peut-être une sclérose en plaques. Quant à la femme enceinte sévèrement déficitaire en vitamine D, elle sera davantage exposée au risque de diabète gestationnel et de prééclampsie. Le citadin stressé qui ne prend pas le temps de se mettre au soleil le plus régulièrement possible, deviendra petit à petit plus sensible aux infections respiratoires. Et que dire de la femme ménopausée carencée en vitamine D, candidate parfaite à l'ostéoporose. Enfin, la personne âgée en manque chronique de vitamine D se sentira plus faible sur ses jambes et du coup, tombera plus facilement, d'où une majoration importante du risque de fracture. De surcroît, elle se retrouvera aussi un peu plus exposée au risque d'incontinence urinaire. Au bout du compte, les effets de la vitamine D sur la santé en général sont si positifs que cela se vérifie au niveau du risque de mortalité globale. Comment pourrait-il d'ailleurs en être autrement, sachant que les pathologies les plus meurtrières, à savoir les cancers et les maladies cardiovasculaires, figurent parmi celles justement associées à une déficience en vitamine D !

 

IPSN : Vos constats reposent sur des études scientifiques publiées dont la valeur est reconnue par de nombreux médecins et chercheurs en Europe et aux Etats-Unis. Pourquoi alors, les autorités sanitaires françaises se méfient-elles toujours autant de la vitamine D dont les AJR (Apports Journaliers Recommandés) restent très bas (200 UI par jour) ?

 

 

Didier Le Bail : Les choses commencent à évoluer favorablement... sauf en France, bien entendu ! Comme souvent, nos amis américains ont joué le rôle de précurseur il y a un an de cela, en faisant passer l'apport oral quotidien maximal de 2000 à 4000 UI, et l'AJR, de 200 à 600 UI (l'UI ou Unité Internationale est une unité de mesure définie pour une substance donnée). De leur côté, les autorités sanitaires de l'Union Européenne réévaluent actuellement leurs avis sur les apports recommandés en micronutriments, y compris la vitamine D. Les résultat de leurs travaux sont attendus pour fin 2012. Bien entendu, les experts européens tiendront compte des nouvelles normes déjà appliquées aux USA et au Canada. Pour l'heure, au niveau européen, l'apport maximal tolérable reste fixé à 2000 UI par jour. Quant aux autorités sanitaires françaises, comptez sur elles pour attendre que les choses bougent au niveau européen avant de réagir à leur tour et de suivre le plus fidèlement possible, on l'espère, le mouvement enclenché en Amérique du Nord.

 

Si vous êtes néophyte en la matière, les chiffres que je viens de mentionner ne vous paraissent guère parlants, et c'est d'autant plus compréhensible que vous ne disposez pas de quelques éléments d'appréciation essentiels :

 

1. On estime qu'environ 4000 UI sont utilisés quotidiennement par l'organisme d'un homme en bonne santé vivant à une latitude moyenne comme la nôtre.

 

2. La vitamine D est apportée à 90 ou 95 % par l'exposition au soleil, le reste provenant de l'alimentation, essentiellement des poissons gras. En se basant sur ce chiffre de 4000 UI, il apparaît donc que la synthèse cutanée doit assurer à elle seule un apport de 3600 à 3800 UI, l'alimentation se limitant à procurer de 200 à 400 UI (pour prendre un exemple, 100 g de saumon fumé apportent environ 400 UI de vitamine D).

 

3. Dans nos contrées, il n'y a plus de synthèse cutanée possible de vitamine D durant six longs mois ( en gros, d'octobre à mars). Tout au long de cette période, l'organisme vit sur ses réserves tissulaires qui, très souvent, s'avèrent excessivement maigres ! Dans ce cas-là, la solution, c'est de pouvoir compenser le manque de vitamine D par le biais d'un apport oral suffisamment conséquent, qui peut flirter avec les 4000 UI par jour dès lors qu'un dosage sanguin révèle que l'on est sévèrement déficitaire en vitamine D.

 

Il faut donc retenir que le fait de couvrir 100 % des AJR grâce à la consommation d'aliments bien pourvus en vitamine D ne signifie nullement que vous avez couvert 100 % de vos besoins journaliers en vitamine D. En réalité, les AJR français actuels ne couvrent environ que le vingtième – oui, j'ai bien dit le vingtième ! - de vos besoins quotidiens en vitamine D, et même moins si vous souffrez déjà d'une maladie chronique.

 

Pour être tout à fait complet, je précise que la valeur plafond de 4000 UI par jour peut être dépassée ponctuellement si les besoins de la personne l'exigent. Au vu des études les plus récentes, les meilleurs spécialistes de la vitamine D s'accordent sur le fait que l'on peut prendre jusqu'à 10 000 UI par jour pendant plusieurs mois sans aucun problème. En cas d'antécédents de calculs rénaux, il conviendra cependant de demander un avis médical avant de prendre des doses très élevées de vitamine D.

  

 

> Le site Internet de Didier Le Bail : http://naturopathe-vincennes.sitew.com

 

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 08:28

 

En avant-première, un extrait de l'interview que j'ai accordé récemment à l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN). L'interview complète apparaîtra prochainement sur le site institut-protection-sante-naturelle.eu :

 

IPSN : Si nous sommes tous carencés en vitamine D, quels sont les moyens dont nous disposons individuellement et collectivement pour lutter contre ce phénomène ? Comment peut-on faire évoluer la vision des pouvoirs publics ?

 

Didier Le Bail : En ce qui me concerne, j'ai décidé de revêtit l'habit de « lanceur d'alerte », à travers la publication de mon ouvrage : « Et si vous manquiez de vitamine D ? ». Ce livre-choc s'inscrit dans une démarche initiée il y a quelques années par les plus grands spécialistes de la vitamine D, et qui vise à alerter le grand public sur l'épidémie mondiale de déficience en vitamine D. En 2010, l'appel lancé par David Servan-Schreiber et 39 autres scientifiques français et étrangers, a contribué à sensibiliser à la fois le grand public et les médecins sur l'importance de la vitamine D dans la prévention de l'ostéoporose, des maladies cardiovasculaires et du cancer. Mais cette initiative demandait à être consolidée par la publication en langue française d'ouvrages grand public sur la vitamine D. Avec cet ouvrage de 400 pages entièrement dédié à la vitamine D, j'apporte ma pierre à l'édifice.

 

Pour ce qui est de sensibiliser les pouvoirs publics à cette question de la vitamine D, il faut, à mon sens, les toucher là où ça fait mal, c'est-à-dire au portefeuille ! En effet, d'un point de vue financier, les compléments de vitamine D sont plus qu'abordables. L'investissement à consentir pour retrouver un taux sérique optimal et prévenir ainsi un large éventail de maladies graves et chroniques, est vraiment peu élevé, et sans commune mesure avec le coût social exorbitant de ces mêmes maladies, une fois celles-ci diagnostiquées. En 2008, une étude menée auprès de vétérans de l'Armée américaine a ainsi montré que les individus carencés en vitamine D avaient des frais annuels de santé 39 % supérieurs à ceux d'individus ayant un taux de vitamine D correct. En 2009, une autre étude tout à fait sérieuse a évalué à 187 milliards d'euros par an le coût économique de l'épidémie de déficience en vitamine D en Europe ! Il n'est donc plus tenable d'ignorer l'importance capitale du « facteur D », tant d'un point de vue sanitaire que financier.

 

 

Pour finir, une brève présentation de l'IPSN, dont le siège est à Bruxelles (Belgique) :

 

À l’origine de la création de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, il y a la mobilisation spontanée d’un groupe de citoyens avertis et sensibles aux problématiques de la médecine naturelle en mars 2011. Il s’agissait de protester contre l’entrée en vigueur le 30 avril 2011 d’une directive européenne restreignant la liberté de commercialisation des plantes médicinales. La pétition lancée par ces citoyens réunis, pour l’occasion, en collectif pour la défense de la médecine naturelle, a déclenché un ras de marée populaire. Plus d’un million de personnes (1 200 000 exactement) en Europe ont apporté leur soutien à cette initiative  en un mois !

Devant l’extraordinaire succès remporté par la pétition et les nombreux mails d’encouragement reçus, le collectif a décidé de prolonger son action et de se transformer en structure permanente pour veiller, informer et défendre la médecine naturelle.

 

 

 

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 15:59

 

J'ai donné une interview à paraître dans le n° de janvier 2012 de Femme Magazine, le féminin n°1... au Liban ! Je ne m'attendais pas à ce que mon livre suscite un tel intérêt dans un pays que l'on pourrait croire à priori peu concerné par l'épidémie mondiale de déficience en vitamine D. En effet, le Liban est un pays du Moyen-Orient bénéficiant d'un large ensoleillement. Les personnes résidant au sud de Beyrouth ont même la chance de pouvoir fabriquer de la vitamine D toute l'année, alors que chez nous, cela n'est plus possible pendant six mois (grosso modo, d'octobre à mars). Et pourtant, il se trouve que la déficience en vitamine D est quasiment un sujet de préoccupation nationale au Liban, d'où cette proposition d'interview qui m'a été faite !

 

De façon surprenante, beaucoup de libanais sont plus ou moins déficitaires en vitamine D. Il semblerait qu'un facteur génétique soit en cause. Peut-être faut-il aller chercher l'explication du côté du VDR (récepteur à la vitamine D). Pour illustrer cette hypothèse génétique, je vous citerai l'exemple d'une dame américaine dont la masse osseuse continuait à diminuer malgré une supplémentation en vitamine D. Elle a eu l'opportunité de procéder à un test génétique qui a montré la présence du variant VDR BB, d'où absorption et assimilation insuffisantes de la vitamine D. Au final, il a fallu qu'elle prenne carrément 10 000 UI par jour pour retrouver et maintenir un taux sanguin optimal, autrement dit supérieur à 40 ng/ml !

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 09:03

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> On a parlé de mon livre sur la vitamine D dans les pages Santé de TV Magazine, un magazine télé ajouté à de nombreux quotidiens chaque fin de semaine. Titre de l'article paru dans le n° du 23 octobre de TV Magazine : « Vitamine D : nous en manquons tous, ou presque ! ».

 

> Le samedi 5 novembre, au Parc Floral de Vincennes, à l'occasion du Salon Marjolaine, je ferai une séance de dédicaces à partir de 15 h sur le stand de Rebelle-Santé (stand K 10).

 

> Le jeudi 10 novembre, entre 8 h 55 et 9 h 30, je serai interviewé sur Radio France Bleu La Rochelle, dans le cadre de l'émission « Les Spécialistes ». Les auditeurs qui le souhaitent pourront passer sur l'antenne pour poser leurs questions sur la vitamine D.

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 11:35

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Le secret de la vitamine D, s'il y en a un, réside dans ses effets gé-no-miques !

 

On estime que de 200 à 2000 gènes peuvent être directement ou indirectement contrôlés par le calcitriol, dérivé actif de la vitamine D. Afin de préciser davantage les choses, des chercheurs ont publié l'année dernière la première carte à l'échelle du génome de l'activité de la vitamine D. Ils ont établi que la vitamine D régulait directement l'expression de 229 gènes, dont des dizaines et des dizaines impliqués dans les cancers ou les malades auto-immunes (ex : sclérose en plaques, maladie de Crohn, lupus érythémateux disséminé, polyarthrite rhumatoïde...).

 

Le calcitriol exerce son influence sur des gènes dont les tâches sont très diverses :

 

> régulation du cycle cellulaire (différentiation, prolifération, apoptose...) ;

 

> « suppression » des tumeurs naissantes (ex : gènes suppresseurs de tumeurs p21 et p27) ;

 

> stimulation de la production de notre antibiotique naturel : la cathélicidine, une petite protéine chargée de nous protéger contre beaucoup de maladies infectieuses (grippe, bronchiolite, tuberculose, parodontite, vaginite, septicémie...) ;

 

> augmentation du potentiel destructeur des macrophages, une variété de globule blanc ayant la propriété d'absorber et de détruire des agents pathogènes (bactéries, virus, champignons...) par un procédé appelé phagocytose ;

 

> modulation de l'immunité, de sorte que l'organisme soit mieux préservé de l'éventuel développement de phénomènes d'auto-immunité ;

 

> amélioration de la sensibilité à l'insuline et stimulation de la production d'insuline ;

 

> amélioration de la contractilité des cellules musculaires cardiaques (cardiomyocytes) ;

 

> modulation de la pression artérielle (gène de la rénine) ;

 

> amélioration du fonctionnement des muscles squelettiques ;

 

> optimisation de la santé osseuse.

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 15:17

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ET SI VOUS MANQUIEZ DE VITAMINE D ? 

 

 

« Il existe une véritable épidémie mondiale, d'autant plus dangereuse qu'elle est silencieuse : l'épidémie de déficience en vitamine D !

 

En 2010, le Dr David Servan-Schreiber et 39 scientifiques internationaux ont lancé un appel pour sensibiliser les médecins à l'importance de la vitamine D dans la prévention de l'ostéoporose, des maladies cardio-vasculaires et du cancer.

 

Malgré ce cri d'alarme, les apports en vitamine D recommandés par les autorités sanitaires françaises demeurent nettement sous-évalués.

 

Quant on sait qu'une supplémentation adéquate en vitamine D permet d'optimiser sa santé et même d'influer favorablement sur le cours de certaines pathologies osseuses, infectieuses, métaboliques, cardio-vasculaires, auto-immunes et dégénératives, l'immobilisme des autorités sanitaires ne laisse guère d'autre choix que d'alerter le grand public et le corps médical à propos de cette situation déplorable. D'où ce livre-choc de 400 pages dans lequel tout ce qui est avancé au sujet de la vitamine D repose sur une base scientifique solide.

 

En quatre grandes parties, Didier Le Bail détaille ici le rôle de la vitamine D, les maladies qu'elle peut soigner, présente l'actualité de la recherche et donne toutes les clés pour retrouver un niveau de vitamine D pleinement satisfaisant. »

 

 

  

DISPONIBLE EN LIBRAIRIE À PARTIR DU 4 OCTOBRE 2011

 

Pour vos éventuels commentaires sur l'ouvrage, passez par cet article SVP...

 

 

 

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 16:15

 

Depuis que vous prenez de la vitamine D, vous vous sentez mieux. Quelques exemples :

 

-- Vous souffrez bien moins de vos douleurs ;

-- Votre tension est en train de revenir à la normale ;

-- Vous avez enfin réussi à échapper aux infections virales hivernales ;

-- Votre sommeil semble plus réparateur ;

-- Votre peau brûle beaucoup moins vite au soleil ;

-- Votre psoriasis s'est nettement amélioré...

 

Si vous êtes dans ce cas, n'hésitez pas à partager la bonne nouvelle avec tous les visiteurs de ce blog ! Pour témoigner, ajoutez un commentaire à cet article. Je compte bien faire figurer les témoignages les plus marquants, les plus significatifs, dans la seconde édition revue et augmentée de mon ouvrage « Et si vous manquiez de vitamine D ? » (Éd. Mosaïque-Santé).

 

Pour amorcer la pompe, je vais vous citer l'exemple d'Evelyne, mon épouse, qui, dans le but d'optimiser son taux sérique de vitamine D, prend un peu plus de 3000 UI par jour depuis l'automne 2010. Les effets de cette cure se sont déjà fait sentir au niveau immunitaire – ni grippe ni trachéite l'hiver dernier - et au niveau cutané. Auparavant, dès qu'elle commençait à s'exposer prudemment au soleil, sa peau claire rougissait rapidement et systématiquement, alors que là, non ! C'est le premier été où elle ne subit aucun coup de soleil, juste un petit érythème en juin sur une partie de peau nouvellement exposée, mais sans que cette partie de peau ne devienne sensible et se mette à peler. Bref, elle a vraiment le sentiment d'un avant et d'un après. J'ajouterai qu'elle prend aussi depuis une bonne année 6 g par jour de spiruline, une micro-algue qui, en raison de la richesse de sa composition, peut être qualifiée de super aliment. Or, à mon sens, il ne faut pas exclure une synergie d'action entre spiruline et vitamine D, tant la spiruline contient de nombreux micro-nutriments (caroténoïdes, zinc, SOD, vitamines du groupe B...) destinés, entre autres, à nourrir et protéger la peau.

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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 14:37

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> Avec le beau printemps que nous avons eu, j'espère que vous avez déjà pu faire le plein de vitamine D !

 

> Amis tourangeaux, à l'occasion de la sortie de mon ouvrage : "Et si vous manquiez de vitamine D ?", je donnerai une conférence à Tours le samedi 24 septembre à 14 h dans le cadre du salon bio Fougère. Au plaisir de vous rencontrer au Parc des Expositions (Hall B) !

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18 mars 2011 5 18 /03 /mars /2011 18:19

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PRINTEMPS 2011 - News

 

> Fin mars : sortie du hors-série annuel de Belle-Santé (n° 12), consacré cette fois aux compléments alimentaires. Inutile de vous dire qu'y figure un article sur la vitamine D (pages 58-59) !

 

> Suite au vif succès de la conférence donnée dans le cadre du Salon Bien-Être Médecine douce, les Ed. Mosaïque-Santé se sont montrés enthousiastes à l'idée de publier un ouvrage sur la vitamine D. J'ai donc commencé à m'atteler à cette tâche. L'ouvrage sortira au début de l'automne.

 

> La vitamine D a le vent en poupe. Aux Etats-Unis, elle figure dans le Top 3 des produits les plus utilisés par le public consommateur de compléments alimentaires ! 

    

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Présentation

  • : Le blog de vitamined.over-blog.com
  • : La déficience en vitamine D est désormais reconnue comme une véritable pandémie. L'objectif de ce blog est de sensibiliser les internautes à l'importance de la vitamine D dans la prévention de très nombreux problèmes de santé, dont l'ostéoporose, les fractures, les cancers, les maladies cardio-vasculaires, auto-immunes et infectieuses (notamment grippe). En prime, tout un tas d'infos et conseils pratiques (groupes à risque, interprétation du test sanguin, supplémentation...).
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